Nous avons une excellente nouvelle à partager avec nos clients et partenaires.

i-FUTUR vient d’achever avec succès sa certification aux normes PCI DSS. Cette certification est un témoignage de notre engagement continu à garantir la sécurité des données de nos clients.

Le PCI DSS est une norme internationale établit par les leaders mondiaux de l’industrie des paiements (MasterCard, Visa, Discover, American Express et JCB) qui établit des exigences strictes pour la gestion et la protection des données de paiement. En obtenant cette certification, i-FUTUR a démontré son engagement à respecter les normes de sécurité les plus strictes pour la gestion des informations sensibles des clients.

Nous continuerons à travailler dur pour maintenir ces normes élevées. Nos clients et partenaires peuvent avoir confiance en notre engagement à fournir des services de qualité tout en garantissant la sécurité de leurs données.

Cette étape ouvre ainsi les perspectives vers d’autres services financiers innovants pour nos clients.

En effet, i-FUTUR est une fintech créée avec comme objectif le développement des services financiers numériques innovants destinés aux institutions étatiques, aux entreprises et aux populations laissées pour compte.

Fort de ses expériences, elle a su développer une réelle expertise et un réel savoir-faire pour accompagner les grands projets d’inclusion financière grâce à la plateforme iPayMoney (https://i-pay.money/) est un agrégateur de paiement qui permet l’encaissement des paiements électroniques à travers les mobile money (AIRTEL, MOOV et ZAMANI), les sociétés de transfert, les cartes bancaire (VISA, MASTERCARD) et les banques.

iPayMoney embarque toute une panoplie de fonctionnalités dont les paiements en masses vers des comptes, la collecte de fonds, les bons électroniques.

iPayMoney continue son expansion en 2023 avec le déploiement de 2000 points marchands au Niger qui seront dotés de TPE gratuitement, afin d’effectuer des operations de depot , retrait, paiement marchant, etc…

FIN.

LIRE l’article sur le site du Journal Sahel

M. Sidikou Boubacar, Directeur Général de la société i-FUTUR   : « L’Etat, les opérateurs privés, les fintechs comme la nôtre, essaient d’apporter leur contribution pour que les nigériens commencent à adopter la monnaie électronique »

Au cours des dernières années, les questions d’éducation ont de plus en plus été au centre des préoccupations des acteurs. Conscient des multiples avantages de la digitalisation du secteur éducatif à l’heure actuelle Pour la première fois au Niger, un portail d’éducation national est disponible. Il s’agit d’un portail national d’accès unifié aux ressources numériques de l’éducation nationale au Niger. Ce portail vise à offrir à tous les usagers (utilisateurs internes au Ministère, enseignants, enseignants, usagers particuliers, etc.) du système éducatif national un accès sécurisé avec un niveau d’interactivité aux ressources numériques dudit système tout en assurant et préservant, notamment la disponibilité, l’authenticité de l’information, l’unicité de toute ressource numérique.

Aujourd’hui, les institutions ont besoin de pouvoir suivre leur évolution, d’analyser les informations que ces données peuvent offrir et d’acquérir des connaissances sur la base de celles-ci. Au niveau régional, l’accès à des données complètes sur le secteur éducatif permet aux acteurs de bénéficier d’une vue sur l’ensemble du secteur et du potentialité afin d’offrir une amélioration et une expérience personnalisée pour que chaque individu puisse bénéficier des informations qui lui sont nécessaires. 

Les problèmes dans le secteur d’éducation sont reconnus comme étant les problèmes clefs pour toute tentative tant soit peu sérieuse de transformer nos pays sous développé en pays avancé.  Le Niger avec plus de 20 millions d’habitants (selon le recensement général de 2012) avec une population jeune rencontre d’énormes difficultés dans le secteur éducatif. 

Avec cette digitalisation plusieurs avantages en découlent notamment dans l’amélioration de l’accessibilité de l’information au plus grand nombre de la population.

C’est ainsi que le 14 Octobre 2022, s’est tenue à Bravia hôtel la cérémonie de lancement officiel « portail national unique de l’éducation au Niger, EDU-NIGER ». C’est avec plaisir que nous partageons avec vous les temps forts de la cérémonie de lancement officiel du portail Unique de l’Education Nationale Sous le haut patronage du Ministre de l’Education Nationale qui s’est tenu le 14 Octobre 2022 à l’hôtel BRAVIA.

Il y a 4 mois de cela que i-FUTUR  était au côté du Ministère en tant que partenaire technologique pour aboutir à ce résultat qui est le Portail Unique de l’Education au Niger dont les quelques éléments phares sont le site web institutionnel, la bibliothèque numérique, l’Intranet, la Messagerie et le Workflow qui permettra au MEN de dématérialiser certaines procédures métier qui se faisaient sur papier.

i-FUTUR a mené une démarche inclusive durant cette période avec l’ensemble des directions du Ministère, des PTFs, le cluster Éducation, ANSI-Niger , le Ministère de l’Economie Numérique, pour permettre la réussite de cette mission. C’est fut l’aboutissement d’un long processus d’accompagnement et nous nous réjouissons de son bon déroulement. Cette fructueuse collaboration a permis de boucler avec succès cette mission et nous avons remis fièrement le produit.

Ce portail vise à offrir à tous les usagers du système éducatif national un accès sécurisé avec un niveau d’interactivité aux ressources numériques dudit système tout en assurant et préservant la disponibilité, l’authenticité de l’information et l’unicité de toute ressource numérique.

Nous avons décidé d’accompagner tous les secteurs dans leur processus de dématérialisation, nous avons résolu l’inaccessibilité de l’information au plus grand nombre de la population, et nous en résolvons d’autres.

FIN

Les TIC (technologies de l’information et de la communication) sont un levier de modernisation pour les États. Elles constituent un passage incontournable vers un Niger plus centré sur les besoins des  population et toujours plus performant. Les deux programmes, à savoir « Niger 2.0 » et « Smart-Africa » démontrent clairement la nouvelle marche adoptée par l’Etat Nigérien.

Ainsi, l’Office National des Examens et Concours du Supérieur (ONECS),  s’est engagé dans une démarche visant à simplifier la vie aux étudiants en promouvant une modernisation de ces procédures Métiers à travers son projet dénommé « Smart-Admin ». L’ONECS rencontre des difficultés dans l’organisation des examens et concours. On peut citer le problème de communication. Les communiqués audio-visuels et écrits, par lesquels l’ONECS véhicule les messages à l’endroit des candidats potentiels, ne permettent pas de toucher significativement leur cible. Les étudiants peinent à accéder aux informations ou ne les reçoivent pas en temps opportun car ils doivent se rendre dans les Directions Régionales des Enseignements Secondaires. Egalement, ils font face à de longues files d’attentes pour déposer leurs dossiers de candidature. Et pour ceux qui sont à l’intérieur du pays, il leur arrive d’envoyer leurs dossiers à un proche via les compagnies de transport avec des risques de perte. Enfin, les candidats provenant des localités lointaines, souffrent de l’attente des résultats. Il fallait aussi faire face à l’effectif de plus en plus croissant des candidats, ce qui va vite déborder le personnel en charge de travail.

C’est pour remédier à ces problèmes que l’ONECS a mis en œuvre l’innovation Smart-ADMIN. Cette innovation est dotée d’un logiciel de sécurisation et de gestion des notes, facilitant le traitement des notes et génère automatiquement la liste des admissibles et les relevés de notes. Les convocations sont désormais envoyés sur le téléphones du candidat, et les résultats sont transmis par SMS & Email à chaque candidat et aussi publiés en ligne pour permettre une large consultation. Cette innovation est accessible depuis les liens  https://www.smart-admin.org/ .

Grâce à l’innovation, l’ONECS peut envoyer des SMS aux candidats inscrits aux examens et aux concours pour toute information les concernant. Egalement, les annonces portant sur l’organisation des examens et concours sont publiées en ligne parallèlement aux communiqués audio-visuels.

En outre, l’innovation permet aux candidats de télécharger les épreuves des sessions antérieures pour s’exercer. Pour finir, à partir de l’année académique prochaine, les candidats potentiels pourront soumettre leurs dossiers de candidature en ligne et s’acquitter des frais de dossier par mobile money.

Ces outils technologiques qui sont d’actualités, permettent de moderniser les prestations de service public de l’office, pour une meilleure performance, une transparence, via un accès facile aux informations administratives.

C’est ainsi que l’ONECS a remporté le Prix Nigérien de l’Innovation dans la fonction publique, Edition 2017. Ce prix annuel, décerné par le Haut-Commissariat à la modernisation de l’Etat (HCME) et soutenu par l’Agence Française de Développement (AFD), récompense les réalisations créatives dans l’amélioration de la qualité dans la délivrance des services publics.

Photo : Remise des prix au lauréat du Concours de l’innovation dans les services publics HIKIMA

Pour atteindre ces objectifs, L’ONECS est accompagné par startup nigérienne i-FUTUR spécialisée dans la transformation digitale des procédures métiers.

Le samedi  15 octobre 2016,  les universités de l’Afrique subsaharienne se sont affrontées en compétition de programmation informatique.  L’ACM International Collegiate Programming Contest (ICPC) est un concours annuel, très prestigieux organisé tous les ans pour des étudiants.  C’est l’unique compétition informatique qui réunit chaque année les 5 continents et regroupe  plus de 90 universités.

Cette compétition vise à développer l’esprit d’équipe, l’excellence et la compétitivité dans le monde estudiantin. Le concours offre une plateforme pour tous les acteurs du monde informatique pour encourager et attirer l’attention du public sur la prochaine génération de professionnels de l’informatique dans la poursuite de l’excellence. C’est une occasion unique qui permettra aux élèves et étudiants de différentes universités, écoles et instituts, d’aiguiser leur compétence en programmation, de résoudre certains problèmes des sciences numériques.

La compétition de programmation est pilotée par une plateforme logicielle et se déroule en temps réel, dans une course contre la montre, sur une durée de cinq (5) heures avec huit (8) problèmes à résoudre. Chaque équipe est constituée de trois (3) personnes et utilisera un seul ordinateur. Chaque ordinateur est muni du logiciel permettant à l’équipe de soumettre la solution aux problèmes posés. Les solutions sont écrites dans les langages JAVA, C++, C et PYTHON.

A cette 18^ème Edition, c’est une fois encore l’université de Cap Town qui a occupée la 1^ère place en résolvant 7 problèmes sur les 8. Cette dernière représenteront l’Afrique à la phase mondiale qui aura lieu à Dakota au Etats Unis. Le Nigéria arrive en 2^ème position tandis que la meilleure performance vient du Burkina Faso en résolvant 4 problèmes pour une première participation et se classe 3ème.

Une rénovation de plus

Ils seront plus de 4000 candidats (toutes filières confondues) cette année qui  affronteront les épreuves du Brevet de Technicien Supérieur (BTS d’Etat). Ces examens se tiendront dans deux centres à savoir Niamey et Maradi. Pour les candidats des autres régions (Agadez, Diffa, Zinder, Tahoua, Dosso, Tillaberi), ils devront faire le déplacement pour se rendre dans les centres Maradi ou Niamey. Pour la délibération des résultats, les candidats pourront recevoir tranquillement leur résultat par SMS, E-MAIL ou en consultant sur le site www.laureatafrica.com, une application que la société i-FUTUR à mis à la disposition des candidats en collaboration avec l’Office Nationale des Examens et Concours (ONECS).

Le jury  enverra le résultat par SMS et en ligne dès que l’information sera disponible.

Les candidats peuvent déjà vérifier leur nom, prénom,  adresse mail, numéro de téléphone sur www.laureatafrica.com.

La gouvernance électronique « e-gouvernance » est définie comme « l’utilisation des technologies de l’information et des communications (TIC) dans les administrations publiques, associée à des changements au niveau de l’organisation et de nouvelles aptitudes du personnel. L’objectif est d’améliorer les services publics, renforcer les processus démocratiques et de soutien aux politiques publiques.»

L’e-gouvernement repose sur quatre (4) notions émergentes :

• l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) ;
• l’adaptation des processus de travail et des structures de l’appareil gouvernemental ;
• l’amélioration de l’information, de la communication, de la coopération entre les différents acteurs que sont (i) les citoyens, (ii) les entreprises, (iii) les organisations à but non lucratif et les organisations non gouvernementales ;
• l’augmentation de l’efficacité et de l’efficience des fonctions du gouvernement.

L’administration électronique peut aider les gouvernements à faire des économies, en allégeant certains postes de dépenses comme les télécommunications, les charges d’ordre administratif et de personnel. Elle contribue dans le même sens à l’atteinte d’une meilleure productivité et à l’amélioration de la qualité de travail.

Le rapport 2014 de l’Indice de Développement de l’e-Gouvernement (IDEG) de l’ONU.  Cet indicateur qui permet de rendre compte de « l’utilisation des technologies de l’information et de la communication par les gouvernements dans la diffusion d’informations et des services publics aux populations », des services en ligne proposés par les pouvoirs publics, les infrastructures de télécommunication et le capital humain. L’Afrique affiche une moyenne de 0,27 sur 1.

Parmi les vingt pays les moins engagés dans le développement de l’e-gouvernement, dix-sept sont africains. On y trouve la Guinée (190e), le Niger (191e) et la Somalie (193e) avec des scores ne dépassant pas 0,1.

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